Last Tuesday, the tranquility of the town was soon interrupted by loud explosions and fires spreading in the town where hundreds of thousands of people had taken refuge.
The city had been mostly untouched and was fairly calm as the Sudanese Civil War erupted between the Sudanese Armed Forces, the RSF (Rapid Support Forces), and many other minor factions spread in southwest Sudan.
The attacks began targeting a military base on Sunday, and on Monday, the town’s fuel depots, as well as many other key infrastructures. One of these was a large hotel near the residence of Sudan’s military leader, General Abdel Fattah al-Burhan, witnesses said.
It soon became the primary base for the SAF as Khartoum, the capital of Sudan, was mostly controlled by the RSF when the civil war ignited.
Port Sudan soon became the headquarters of many United Nations officials, diplomats, and agencies, making it the headquarters for humanitarian operations around Sudan.
The SAF was quick to blame the attack on the RSF, but the faction has not claimed responsibility for the destructive attack.
The onslaught drew condemnation from the United Nations, Saudi Arabia, and one of Sudan’s neighboring countries, Egypt.
The army-aligned government then accused the United Arab Emirates of funding the Rapid Support Forces, which certain UN experts found credible. The UAE has denied backing the RSF, however, both countries cut ties with each other.
The International Court of Justice declared that the case could not proceed as the United Arab Emirates had opted out of Article 9 of the Genocide Convention, which brings the fact that it cannot be sued by other countries over claims of genocide.
Reem Ketait, the UAE’s deputy assistant minister for political affairs, told BBC News the ruling was “clear and decisive”.
“The international community must focus urgently on ending this devastating war and supporting the Sudanese people, and it must demand that humanitarian aid reaches all those in need,” she added.
The civil war has taken the lives of about 150,000 people, while the number of people displaced an estimated at 12 million, according to the United Nations.
Translated by AI to accommodate French readers:
Mardi dernier, la tranquillité de la ville a été brutalement interrompue par de fortes explosions et des incendies se propageant dans une localité où des centaines de milliers de personnes s’étaient réfugiées.
La ville, jusque-là relativement épargnée et paisible, a été frappée alors que la guerre civile soudanaise faisait rage entre les Forces armées soudanaises (SAF), les Forces de soutien rapide (RSF) et de nombreuses autres factions mineures disséminées dans le sud-ouest du Soudan.
Les attaques ont débuté dimanche en ciblant une base militaire, avant de s’étendre lundi aux dépôts de carburant de la ville ainsi qu’à plusieurs infrastructures clés. Parmi celles-ci, un grand hôtel situé près de la résidence du chef militaire soudanais, le général Abdel Fattah al-Burhan, selon des témoins.
La ville est rapidement devenue la base principale des SAF, alors que Khartoum, la capitale du Soudan, était majoritairement sous le contrôle des RSF au moment du déclenchement du conflit.
Port-Soudan est vite devenue le quartier général de nombreux représentants des Nations unies, de diplomates et d’agences, servant ainsi de centre névralgique pour les opérations humanitaires à travers le pays.
Les SAF ont rapidement imputé l’attaque aux RSF, mais la faction n’a pas revendiqué la responsabilité de cette offensive destructrice.
L’assaut a suscité de vives condamnations de la part des Nations unies, de l’Arabie saoudite ainsi que d’un pays voisin du Soudan, l’Égypte.
Le gouvernement, aligné sur l’armée, a ensuite accusé les Émirats arabes unis de financer les Forces de soutien rapide, une affirmation jugée crédible par certains experts de l’ONU. Les Émirats arabes unis ont nié tout soutien aux RSF ; toutefois, les deux pays ont rompu leurs relations diplomatiques.
La Cour internationale de justice a déclaré que l’affaire ne pouvait pas être poursuivie, les Émirats ayant refusé de se soumettre à l’article 9 de la Convention sur le génocide, ce qui empêche toute poursuite par d’autres États en cas d’accusation de génocide.
Reem Ketait, vice-ministre émiratie adjointe aux affaires politiques, a déclaré à BBC News que la décision était « claire et décisive ».
« La communauté internationale doit se concentrer de toute urgence sur la fin de cette guerre dévastatrice et sur le soutien au peuple soudanais. Elle doit également exiger que l’aide humanitaire parvienne à toutes les personnes dans le besoin », a-t-elle ajouté.
Selon les Nations unies, la guerre civile a coûté la vie à environ 150 000 personnes et a déplacé quelque 12 millions de personnes.