“There are very, very few additional absences compared to a normal Friday. We expected more mobilization than this,” said Nicolas Prévost, president of the Quebec Federation of School Principals.
A few days ago, an appeal for a demonstration on May 9th was called off by the TikTok account TikTok school_qc, created by a young teenager by the name of Youri Roy. His video has reached more than 650,000 views.
Bernard Drainville, the Minister of Education in Quebec, asked students to continue attending class. He also asked for help from his parents. The minister also reminded us that we are in a period of exams and ministerial evaluations.
Many schools have warned parents by Email that if their child participates in this demonstration, consequences will be imposed, and their absence will be considered unjustified.
Even though many students were angry about the law that prohibits phones in school and on school grounds, not many people participated in the planned demonstration.
The risk of sanctions and the rainy weather discouraged many students from participating in the demonstration. In Quebec, few school service centers, such as The School Service Center Des Découvreurs, Des Navigateurs, and Des Premières Seigneuries, claimed that they did not notice any difference in their usual absence rate.
In Lanaudière, about fifty students went in front of the school to protest, but a majority of them went inside when the bell rang.
” We can use our cellphones outside of school,” said Leila in front of Roberval Academy.”But staying home to protest won’t have much of an impact.”
According to a lot of students, this law won’t stop cyberbullying. They firmly believe that this bullying takes place in the morning before school and at night after school.
Some journalists came to school and asked students to ask as if they were participating in the demonstration, so that they could interview them.
Translated by AI to accommodate French readers:
« Il y a très, très peu d’absences supplémentaires par rapport à un vendredi normal. Nous nous attendions à plus de mobilisation », a déclaré Nicolas Prévost, président de la Fédération québécoise des directions d’établissement d’enseignement.
Il y a quelques jours, un appel à manifester le 9 mai a été lancé, puis annulé, par le compte TikTok school_qc, créé par un adolescent du nom de Youri Roy. Sa vidéo a cumulé plus de 650 000 vues.
Bernard Drainville, ministre de l’Éducation du Québec, a demandé aux élèves de continuer à se présenter en classe. Il a aussi fait appel à la collaboration des parents. Le ministre a rappelé que nous sommes dans une période cruciale d’examens et d’évaluations ministérielles.
Plusieurs établissements scolaires ont envoyé des courriels aux parents pour les avertir que toute participation à cette manifestation entraînerait des conséquences, et que l’absence de leur enfant serait considérée comme non justifiée.
Même si de nombreux élèves se sont montrés frustrés par la loi interdisant l’utilisation des téléphones cellulaires à l’école et sur les terrains scolaires, peu ont pris part à la manifestation prévue.
La menace de sanctions ainsi que la météo pluvieuse ont dissuadé plusieurs élèves de manifester. Dans plusieurs centres de services scolaires, comme ceux des Découvreurs, des Navigateurs et des Premières-Seigneuries, les responsables ont indiqué n’avoir observé aucune variation dans leur taux d’absentéisme habituel.
Dans Lanaudière, une cinquantaine d’élèves se sont regroupés devant leur école pour protester, mais la majorité d’entre eux sont retournés à l’intérieur dès que la cloche a sonné.
« On peut utiliser notre cellulaire à l’extérieur de l’école », a déclaré Leila devant l’Académie Roberval. « Mais rester à la maison pour manifester n’aura pas vraiment d’impact. »
Selon plusieurs élèves, cette nouvelle loi ne mettra pas fin à la cyberintimidation. Ils sont convaincus que celle-ci survient surtout le matin avant l’école et le soir après les cours.
Enfin, certains journalistes se sont rendus dans les établissements scolaires pour inciter des élèves à faire semblant de manifester, dans le but de les interviewer.