A monoparental mother desperately said that she needed to go to the social food bank, because she couldn’t work over the years. In that case, where you have nobody to take care of your child, you have no choice but to stay at home with them, and many parents are stressed and scared for their family.

In October 2021, Mr.Legault said that every child will be able to have a place at daycare subsidized for 8,71$ (now 9,35$), with the education they need to have at that age. Parents have no longer hoped, 2 months after Mr.Legault said that he was supposed to create places for children in daycare.

Joel Arsenault replied to that saying ”that wasn’t about the places, children need their places, but we didn’t well analyze it…” 29,572 places have been created, but the ones that are closing aren’t in these statistics.

Many parents don’t know what to do in that situation anymore. Some of them are even calling the grandmother of their child to take care of them all day long, while parents are working for their family.

That’s a situation that happened to a family that has been searching for a daycare center for 2 years for their little child Leo, but the daycare they were looking for closed one month after.

The problem isn’t just the places, it’s the staff too. A lot of daycares are opening without having the full capacity of a child in there, because they are missing some educators.

Daycare places are a mess, but finally, this year, there is enough space and professionals are even saying that it is a successful year for having created a lot of thousand places in Quebec.

Translated by AI to accommodate French readers:

Une mère monoparentale a exprimé avec désespoir qu’elle devait se rendre à une banque alimentaire, car elle n’avait pas pu travailler au fil des années. Dans une situation où personne n’est disponible pour s’occuper de votre enfant, il ne reste d’autre choix que de rester à la maison avec lui. Beaucoup de parents vivent ainsi dans le stress et la peur pour leur famille.

En octobre 2021, M. Legault a déclaré que chaque enfant aurait accès à une place en garderie subventionnée au coût de 8,71 \$ (aujourd’hui 9,35 \$), avec l’éducation adaptée à leur âge. Deux mois plus tard, l’espoir des parents s’était déjà envolé, alors que les promesses de création de places en garderie ne se concrétisaient pas.

Joël Arseneault a répondu à ces préoccupations en affirmant : « Ce n’était pas seulement une question de places, les enfants ont besoin de leurs places, mais nous ne l’avions pas bien analysé… » 29 572 places ont été créées, mais celles qui ont fermé ne sont pas incluses dans ces statistiques.

De nombreux parents ne savent plus quoi faire face à cette situation. Certains vont même jusqu’à demander à la grand-mère de leur enfant de s’en occuper toute la journée pendant qu’ils travaillent pour subvenir aux besoins de leur famille.

C’est le cas d’une famille qui a cherché une place en garderie pendant deux ans pour leur petit Léo, mais la garderie ciblée a fermé un mois après.

Le problème ne réside pas seulement dans le nombre de places disponibles, mais aussi dans le manque de personnel. Plusieurs garderies ouvrent sans pouvoir accueillir leur pleine capacité d’enfants, faute d’éducateurs et d’éducatrices.

La situation des garderies est chaotique, mais cette année, enfin, il semble y avoir suffisamment d’espace, et des professionnels affirment même que c’est une année réussie grâce à la création de plusieurs milliers de nouvelles places au Québec.