Last week, Michael Jesic, a Los Angeles judge, reduced the sentence of Erik and Lyle Menendez, making them eligible for parole. The state parole board will consider the possibility of the brothers’ release as early as next month.
The brothers were convicted of murdering their parents, Josée and Mary Louise Menendez, in 1989. The brothers’ defense was that their parents were mistreating them, and this was simply self-defense after years of sexual and physical abuse. The siblings were aged 18 and 21 at the time.
Until now, Lyle and Erik have remained silent regarding the details of their actions. Now that they are eligible to speak after a total of 30 years, the opportunity for them to tell their perspective is now possible. Many are excited to hear their side since they decided to remain silent a long time ago.
The brother’s fate rests on the decision of one man, Governor Newsom, who has the power to accept or reject any parole recommendation. This will be a critical decision that decides their fate.
According to the California Department of Corrections, if they are paroled, the brothers will likely be released within five months. If the board recommends parole in June, the governor has 30 days to accept or reject the recommendation.
After hearing that they had been sentenced to 50 years to life with the possibility of parole, Erik and Lyle delivered their happiness.”I had to stop being selfish and immature to understand what my parents went through in those last moments,” Erik Menendez, 54 years old, told the court.
Every member of the surviving family wants the brothers to be released, including the siblings who were in the house during the murder.
“Today is a great day,” defense lawyer Mark Geragos told reporters outside court. He said they were “one huge step closer to bringing the boys home”.
The case still provokes strong emotions and different opinions from the public.
Translated by AI to accommodate French readers:
La semaine dernière, Michael Jesic, un juge de Los Angeles, a réduit la peine d’Erik et Lyle Menendez, les rendant ainsi éligibles à une libération conditionnelle. La commission des libérations conditionnelles de l’État examinera la possibilité de leur remise en liberté dès le mois prochain.
Les deux frères avaient été reconnus coupables du meurtre de leurs parents, Josée et Mary Louise Menendez, en 1989. Leur défense reposait sur le fait qu’ils étaient victimes de mauvais traitements de la part de leurs parents et qu’il s’agissait d’un acte de légitime défense après des années d’abus sexuels et physiques. Les frères avaient respectivement 18 et 21 ans au moment des faits.
Jusqu’à présent, Lyle et Erik étaient restés silencieux sur les détails de leurs actes. Maintenant qu’ils sont autorisés à s’exprimer, après un total de 30 années, ils ont enfin l’opportunité de donner leur version des faits. Beaucoup attendent avec impatience d’entendre leur point de vue, eux qui ont choisi de garder le silence pendant si longtemps.
Le sort des frères repose désormais entre les mains d’un seul homme : le gouverneur Gavin Newsom, qui détient le pouvoir d’accepter ou de rejeter toute recommandation de libération conditionnelle. Sa décision sera déterminante pour l’avenir des deux hommes.
Selon le Département des services correctionnels de Californie, s’ils obtiennent une libération conditionnelle, les frères pourraient être relâchés dans un délai de cinq mois. Si la commission recommande leur libération en juin, le gouverneur aura 30 jours pour accepter ou refuser cette recommandation.
Après avoir appris qu’ils avaient été condamnés à 50 ans de prison à perpétuité avec possibilité de libération conditionnelle, Erik et Lyle ont exprimé leur soulagement. « J’ai dû cesser d’être égoïste et immature pour comprendre ce que mes parents ont vécu dans leurs derniers instants », a déclaré Erik Menendez, âgé de 54 ans, devant le tribunal.
Tous les membres de la famille survivante souhaitent la libération des deux frères, y compris les frères et sœurs présents dans la maison au moment du drame.
« Aujourd’hui est un grand jour », a déclaré l’avocat de la défense Mark Geragos aux journalistes à la sortie du tribunal. Il a affirmé qu’ils étaient « un immense pas plus près de ramener les garçons à la maison ».
L’affaire continue de susciter de vives émotions et des opinions partagées au sein du public.