Millions of Quebecois are subscribed to Netflix, Spotify, and many more. Soon, it will be easier for the subscriber to find local shows on American platforms.

For 2 years, the government has been thinking of this project for our population. ”It is an ambitious bill, but it is necessary; the more the number is advancing, the more the population is going back,” said the prime minister, Mr.Lacombe.

If the law is accepted, the platforms are going to be obligated to put promotion for our local shows with more culturally diverse content.

There are no precise quotas for now. This information will be shared later, when the rules are going to be redacted. ”We want to show the population something that is realistic, because we want that project to work out,” said Mathieu Lacombe.

Some penalties are going to be set up for the platforms that are going to disrespect the law, putting local shows ahead of us. Platforms that have a business model that don’t want to accept the new law, will be allowed to find an agreement with the government to exclude them from the new law.

Many of us want to keep our culture and our habits, but only 5% of the population is listening to quebecoise music.

After every year, if we want to take all the music styles that are listed, only 8,5 % are French music, and that’s not a lot for a country that, at first, was speaking French only.

With the situation between the U.S.A. and Canada, Mr. Lacombe said that it was a risky operation, and that Trump may think that it is a way to confuse the relationship between the 2 countries.

Maybe we are going to be able to listen to more local stuff soon on giant platforms.

Translated with the help of AI to accommodate French readers

Des millions de Québécois sont abonnés à Netflix, Spotify, et bien d’autres plateformes. Bientôt, il sera plus facile pour les abonnés de trouver des émissions locales sur ces plateformes américaines.

Depuis deux ans, le gouvernement réfléchit à ce projet pour notre population. « C’est un projet de loi ambitieux, mais nécessaire ; plus les chiffres avancent, plus la population recule », a déclaré le premier ministre, M. Lacombe.

Si la loi est adoptée, les plateformes seront obligées de promouvoir nos émissions locales avec un contenu culturellement plus diversifié.

Aucun quota précis n’a encore été fixé. Cette information sera communiquée plus tard, lorsque les règles seront rédigées. « Nous voulons présenter quelque chose de réaliste à la population, car nous voulons que ce projet fonctionne », a ajouté Mathieu Lacombe.

Certaines sanctions seront mises en place pour les plateformes qui ne respecteraient pas la loi, en ne mettant pas en avant les émissions locales. Les plateformes dont le modèle économique ne leur permet pas d’accepter cette nouvelle loi pourront trouver un accord avec le gouvernement pour être exclues de cette réglementation.

Beaucoup d’entre nous souhaitent conserver notre culture et nos habitudes, mais seulement 5 % de la population écoute de la musique québécoise.

Chaque année, si l’on prend en compte tous les styles de musique répertoriés, seulement 8,5 % sont de la musique française, ce qui n’est pas beaucoup pour un pays qui, à l’origine, ne parlait que français.

Avec la situation entre les États-Unis et le Canada, M. Lacombe a précisé que c’était une opération risquée, et que Donald Trump pourrait voir cela comme une manière de brouiller les relations entre les deux pays.

Peut-être pourrons-nous bientôt écouter davantage de contenu local sur les grandes plateformes.