There is a scheduled meeting in Saudi Arabia, a 30-day ceasefire, and frequent discussions with Ukrainians and Russians. His campaign promise to end this war is becoming his administration’s top priority. The next weeks or months will be decisive in the still-uncertain future of this complex geopolitical conflict.
While his predecessor, Biden, focused more on military aid and sanctions, Trump is more open to negotiations. His motivations behind wanting to end the war were to re-establish diplomatic relations with Russia and stop sending too much money to Ukraine.
The percentage of total US government support for Ukraine is 42.7%. According to the Kiel Institute, this represents approximately 119.7 billion dollars between February 2022 and December 2024. It includes military, humanitarian, and financial donations as well.
Less than a week after Trump’s first phone call with President Putin, in which they agreed to start negotiations, a summit was set up. Marco Antonio Rubio, the United States Secretary of State, and Sergey Lavrov, a Russian diplomat, met in Riyadh, Saudi Arabia, for a peace talk. Although this summit represents a great step in the long road towards peace in Ukraine and the EU, the other major players were not involved.
Putin said, “Europe had nothing with the talks in Riyadh, as they were focused on establishing trust between Washington and Moscow, which he said was key.” Marco Rubio added, ” Ukraine and Europe will be part of the real negotiations”. Confirming Putin’s statements.
Trump and Putin’s last phone call on March 18 made Moscow finally accept a ceasefire. Putin agreed to a 30-day halt on energy facility strikes but no complete Ukraine ceasefire, as told by Trump before their 90-minute call. Due to the significant advances of Russian troops in eastern Ukraine, Putin might have avoided making more advantageous concessions, according to Reuters.
This bloody war started three years ago and began its fourth year in February 2025. The casualties of the war vary from different sources. According to various newspapers, the Russian soldiers’ deaths are estimated to be 147,000 to 211,000. For the Ukrainian army, there are fewer deaths, and they could range from 43,000 to 70,400. These numbers are certainly higher than the ones revealed by the Russian and Ukrainian armies, as both countries want to prove their power and control of the situation.

Sources: CNN, The Institute for the Study of War with AIE’s Critical Threat Project
According to the latest data, eighteen percent of Ukraine’s territory is under Russian control. By the end of negotiations, will Ukraine have to leave one-fifth of its territory to Russia? Will minerals and natural resources be overexploited to pay back the US contribution to the war? Trump mentioned last week that they had agreed to conclude a comprehensive agreement as soon as possible.
This war allowed the United States to show Putin that he was not immune from reprisal and that the international community could not tolerate such actions. Therefore, NATO would serve as a deterrent to Putin from attacking Ukraine, and Moscow will most likely refuse Kyiv from joining NATO’s ranks.
After sacrificing their lives, their houses, and their families due to the war, Ukrainians’ interests seem to be neglected by Trump, according to Ukrainians who feel betrayed and think that the US could have done more.
Translated by AI to accommodate French readers:
Une rencontre est prévue en Arabie Saoudite, accompagnée d’un cessez-le-feu de 30 jours et de discussions fréquentes entre les représentants ukrainiens et russes. La promesse de campagne de Donald Trump, à savoir mettre un terme à la guerre, s’impose désormais comme la priorité majeure de son administration. Les semaines ou mois à venir seront décisifs dans l’avenir encore incertain de ce conflit géopolitique complexe.
Alors que son prédécesseur, Joe Biden, avait mis l’accent sur l’aide militaire et les sanctions, Trump se montre plus favorable aux négociations. Ses motivations à vouloir mettre fin à la guerre reposent principalement sur la volonté de rétablir les relations diplomatiques avec la Russie et de réduire l’aide financière massive envoyée à l’Ukraine.
La part totale du soutien gouvernemental américain à l’Ukraine représente 42,7 %. Selon les données de l’Institut de Kiel, cela équivaut à environ 119,7 milliards de dollars entre février 2022 et décembre 2024, englobant l’aide militaire, humanitaire et financière.
Moins d’une semaine après le premier appel téléphonique entre Trump et le président Poutine, au cours duquel ils sont convenus d’ouvrir des négociations, un sommet a été organisé. Marco Antonio Rubio, le secrétaire d’État américain, et Sergueï Lavrov, diplomate russe, se sont rencontrés à Riyad, en Arabie Saoudite, dans le cadre de pourparlers de paix. Bien que ce sommet constitue une avancée significative sur la voie d’une résolution du conflit entre l’Ukraine et l’Union européenne, les autres grandes puissances n’y ont pas été associées.
Le président Poutine a déclaré que « l’Europe n’avait aucun rôle à jouer dans les discussions de Riyad, car elles visaient à rétablir la confiance entre Washington et Moscou, un élément qu’il juge fondamental ». Marco Rubio a confirmé ses propos en ajoutant que « l’Ukraine et l’Europe prendront part aux véritables négociations » à venir.
La dernière conversation téléphonique entre Trump et Poutine, le 18 mars, a conduit Moscou à accepter un cessez-le-feu partiel. Le président russe s’est engagé à suspendre pendant 30 jours les frappes ciblant les infrastructures énergétiques, sans toutefois accepter un cessez-le-feu général en Ukraine, contrairement à ce qu’avait avancé Trump avant cet échange de 90 minutes. En raison des gains territoriaux importants des forces russes dans l’est de l’Ukraine, Poutine aurait refusé de faire davantage de concessions, selon l’agence Reuters.
Ce conflit sanglant, entamé il y a trois ans, est entré dans sa quatrième année en février 2025. Le nombre de victimes varie selon les sources. D’après plusieurs médias, les pertes humaines dans l’armée russe sont estimées entre 147 000 et 211 000 soldats. Du côté ukrainien, le bilan serait moins lourd, avec des pertes évaluées entre 43 000 et 70 400 soldats. Ces chiffres sont très probablement supérieurs à ceux communiqués officiellement par les deux armées, chacune souhaitant démontrer sa force et sa maîtrise de la situation.
Selon les dernières données disponibles, environ 18 % du territoire ukrainien se trouvent actuellement sous contrôle russe. À mesure que les négociations avancent, certains se demandent si l’Ukraine sera contrainte de céder un cinquième de son territoire à la Russie. Des inquiétudes se font également entendre quant à une éventuelle surexploitation des ressources naturelles et minières du pays, qui pourraient servir à rembourser l’importante contribution financière et militaire des États-Unis pendant la guerre. La semaine dernière, Donald Trump a déclaré qu’un accord global était en voie d’être conclu dans les plus brefs délais.
Ce conflit a permis aux États-Unis de montrer à Vladimir Poutine qu’il ne pouvait agir en toute impunité, et que la communauté internationale ne tolérerait pas de telles agressions. L’OTAN a ainsi joué un rôle de dissuasion, empêchant une attaque de plus grande envergure contre l’Ukraine. Toutefois, il semble de plus en plus probable que Moscou s’opposera fermement à toute adhésion de Kyiv à l’Alliance atlantique.
Malgré les sacrifices immenses consentis par les Ukrainiens — la perte de vies humaines, de leurs maisons et de leurs familles —, beaucoup ont aujourd’hui le sentiment d’être trahis. Selon certains, les déclarations récentes de Trump reflètent un désengagement des États-Unis, qui, à leurs yeux, auraient pu faire davantage pour défendre la souveraineté ukrainienne.
Louis Dallaire • Apr 7, 2025 at 10:48 am
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Gabriel Sanpetreanu • Apr 7, 2025 at 10:46 am
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Jean Sébastien Gagnon • Apr 4, 2025 at 7:05 pm
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